Dans un paysage dévasté, Karrer vit depuis des années coupé du monde, passant son temps à contempler des bennes qui disparaissent dans le lointain et à errer sous une pluie incessante. Ses seuls liens sociaux sont un bar « Le Titanic », où il échoue chaque soir, et son patron, Willarsky.
Dans de nombreuses villes, les logements sont trop étroits. Les difficultés sont nombreuses lorsque plusieurs familles vivent dans ces espaces restreints.